L'Argent Dette de Paul Grignon (Money as Debt FR)

Publié le par Jaminagrobi


L'Argent Dette de Paul Grignon (Money as Debt FR) from Bankster on Vimeo.

Ici et maintenant ! Au nom du peuple souverain et sous la protection de l'article 10 du deuxième Traité de la Convention de Berne, l'article 10 de la Convention Européenne des droits de l'homme et l'article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, défendant le droit de tous à l'information et le droit à la liberté d'expression et d'opinion.

Nous déclarons, par le peuple et pour le peuple, que c'est le peuple qui produit tous les biens et services mis sur le marché. C'est donc le peuple qui fait la valeur de la monnaie. Celle-ci n’apparaît pas spontanément dans la nature, comme les biens et services, elle est la création de l’homme. Le droit à la création de la monnaie appartient donc au peuple puisqu’il en fait la valeur.

Nous refusons de travailler pour quelque chose qui n'existe pas et encore moins pour quelque chose qui nous asservit.

Tant que l'article 104 du Traité de Maastricht, transposé dans l'article 123 du Traité de Lisbonne restera en vigueur, l'Europe restera une arnaque des Banksters.

L’ensemble des politiciens français et européens se chamaillent pour des questions sans importance

Il n’y a pas un seul problème en Europe (idem dans le monde) qui ne soit pas lié à l’utilisation de L'Argent Dette

La dette nationale est un canular inventé par décret et en application par une loi.

Nous jouons au JEU DU COMMERCE (voir: bankster) dans un monde commercial fictif où l’argent est fictif, les sociétés - et ceci inclut votre NOM en lettres majuscules - sont fictives, ce sont toutes des fictions crées par le gouvernement qui est lui-même une entité fictive dont le seul but est de récolter l'intérêt fictif d'une dette fictive qui ne pourra jamais être payé et ceci pour le compte d'une poignée d'individus privés.

Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnu comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile... Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois... L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation. – William Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada (qui nationalisa la Banque du Canada)

Depuis un siècle de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer cette escroquerie, parmi elles des grands noms de la science économique comme Milton Friedman, Irvin Fisher et Maurice Allais.

Publié dans Nouvel Ordre Mondial

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