Sans commentaire!

« La présente fenêtre d'opportunité, durant laquelle un ordre mondial pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l'orée d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial." David Rockelller  23 septembre 1994

Naturellement, l’homme du peuple ne désire pas la guerre, mais après tout, c’est aux décideurs du pays de déterminer les directions. Et il est toujours très facile d’y entraîner le peuple, qu’il s’agisse d’une démocratie, d’une dictature fasciste, d’un parlement, ou d’une dictature communiste. Qu’il ait droit de paroles, ou non, le peuple peut-être facilement plié à la volonté des décideurs. Vous n’avez qu’à lui dire qu’il est attaqué, et vous accusez ensuite les pacifistes d’exposer leurs pays au danger, par leur manque de patriotisme. Ça fonctionne de la même façon dans tous les pays. Hermann Goering Reich-Maréchal Armée allemande, Procès Nuremberg

Henry Kissinger fut enregistré à son insu par un délégué suisse à la conférence Bilderberg de 1992

« Les Américains d’aujourd’hui seraient outragés si les troupes des Nations Unies entraient dans la ville de Los Angeles pour ramener l’ordre; demain, ils en seront reconnaissants. Ceci est particulièrement vrai si leurs regards furent préalablement dirigés vers une quelconque menace lointaine, qu’elle soit réelle ou non, et qui cible notre propre existence. C’est alors que tous les hommes de la terre souhaiteront discuter avec les dirigeants de la Terre, afin d’être délivrés de cet enfer.


S’il est une chose que tous les hommes ont en commun, c’est la peur de l’inconnu. Lorsque considérés à l’intérieur d’un tel scénario, les droits individuels sont volontairement abandonnés pour la garantie de bien-être qui sera apporté sur un plateau par leur gouvernement mondial. »

Henry Kissinger Evian, France 21 mai

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